etienne bourdonCondoléance
Voilà, Francine. Tu as franchi le mur qui nous sépare du monde où tout est beau. Durant tant d'années, les petites bougies qui jalonaient ton chemin, se sont éteintes, les unes après les autres. Mais tu as gardé ce beau sourire dont nous nous souvenons tous. Merci pour tout le bien que tu as apporté à tous ceux qui ont vécu et travaillé à tes côtés. Mais voici la fin de la moisson. Il faut fermer doucement la porte de la chambre, et s'en aller à pas feutrés. Faire silence. Te laisser te reposer. Tu l'as bien mérité.